jeudi 16 février 2012

Note d'atelier par Léopoldine

On part d’une forme à l’origine concrète puisée dans la nature et on la rend abstraite par la simple volonté de lui ôter son affiliation narrative.
Il ne s’agit pas d’imiter la nature, mais de prendre son empreinte, de s’approprier une forme et d’en extraire un vocabulaire plus subjectif, un langage poétique universel. Des rochers érodés par l’eau, des taches de moisissures aux nuages épais, des galets glanés sur la plage… tout ce qui provient de la nature peut être un déclencheur de création. Le monde devient un alphabet de symboles et de signes. Jouer avec c’est se l’approprier et générer un dialogue universel.
Note d’atelier 31 01 12

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